D'un jour ou d'un raid, la montagne se vit également hivernale.
Elle y est plus rude, plus austère, elle se mérite au poids du sac, à la rudesse des conditions, au réconfort d'un refuge non gardé où tout ou presque doit être monté, aux jours courts et aux températures basses. Elle est également plus piégeuse et l'aléatoire y tient une place plus grande, nécessitant plus d'expérience... Parfois de témérité. Sauvage et immaculée.
Récit d'hivernales.
Moments
Sècheresse Beaufortine
Grand Paradis
Refuge fermé, sac chargé, neige éparse, glacier découvert, quelques vues à 3800 mètres. Ascension à deux du Mont Paradis par sa voie normale et quelques impressions sur la route.